MUHLENBERGIA reverchonii est une graminée cespiteuse impressionnante, au fort pouvoir décoratif ! Elle ressemble à MUHLENBERGIA capillaris avec son feuillage vert, très fin, semi-persistant, et surtout son incroyable floraison vaporeuse, plus tardive. Elle produit en fin d’été d’innombrables épis soyeux qui s’épanouissent tel un délicat nuage rose au-dessus du feuillage. Les fleurs, suivis de jolis capitules, durent jusqu’à l’automne et virent au brun léger en hiver. Originaire du sud des États-Unis (pente rocheuse, plaine et affleurement calcaire), c’est au soleil, en sol sec et drainant qu’elle donnera son plein potentiel. Elle peut tolérer l’ombre légère. Non rhizomateuse, elle peut se ressemer naturellement. Rustique et sans problème, elle redoute l’humidité en hiver.
Fougère qui se plaît dans des sols ordinaires, tourbeux ou humifères. POLYSTICHUM polyblepharum ont des frondes persistantes, vert foncé, brillantes, parfaites pour les bouquets.
Le DRYOPTERIS affinis est une fougère vigoureuse de taille imposante qui préfère les sols riches. La touffe forme une couronne de frondes dressées qui portent des pennes d'un ton vert clair, légèrement brillant au printemps qui virent au foncé pour l'hiver et contraste avec la nervure centrale brun doré.
L'Aster de Nouvelle-Angleterre "Andenken an Paul Gerber", est un excellent choix pour ajouter de la couleur et de la vitalité à votre jardin d'automne, lorsque les autres plantes peuvent commencer à se faner. Ses fleurs en forme de marguerite offrent une palette de couleurs attrayante, allant du rose au violet pourpré, à cœur orangé. Facile à cultiver et nécessitant peu d'entretien, ce grand Aster ajoute de la hauteur et de la structure à votre aménagement paysager. Apprécié par les papillons et les abeilles, il contribue à attirer une diversité d'insectes pollinisateurs dans votre jardin. Offrez-lui une bonne terre de jardin, pas trop sèche. Il tolère le calcaire et résistera bien à l’hiver (jusqu’à -30°C). Les asters de Nouvelle-Angleterre présentent une bonne résistance à l’oïdium, de solides tiges qui rend le tuteurage inutile et ils sont adaptés à nos climats humides.